Lorsque l’on pense à opter pour une assurance décès, il faut aussi se questionner sur le montant que l’on va laisser à ses proches lors de son décès. Toutefois, il est assez difficile de déterminer à l’avance ce capital, mais on peut vous aider à y remédier.

Pourquoi souscrire à une assurance décès ?

Une question à laquelle bon nombre de personnes n’ont pas encore su trouver la bonne réponse aujourd’hui, et pourtant, elle reste la même pour tout le monde. En effet, si une personne décide de souscrire à une assurance décès, ce n’est pas pour lui, retenez-le, c’est pour assurer que sa famille puisse s’en sortir après son départ. Et cela commence dès les obsèques, étant donné que l’assurance décès entre en jeu, au moment même où l’assuré perd sa vie. Ce qui fait que cette assurance sert avant tout à financer les obsèques de l’assuré. Par la même occasion, en fonction du capital recueilli pour chaque cotisation de l’assuré, la famille du défunt se verra restituer ce capital mensuellement, pour faciliter leur quotidien. C’est pour cela qu’il est important de déterminer son capital avant de souscrire à une assurance décès, bien que ce contrat soit modifiable à souhait, par l’assuré. Et vous pouvez le vérifier en vous rendant ici.

À qui s’adresse le capital de l’assurance ?

On parle souvent de proche, mais on ne sait pas vraiment à qui, vu que l’assuré est libre de choisir par lui-même son bénéficiaire, et peut en changer ou en ajouter à tout moment de sa vie. À noter qu’il est le seul à pouvoir jouir de ce droit, et que personne ne peut prendre de décision à sa place, du moins, sans son aval et son paraphe. Et peu importe son choix, l’assureur se doit de la respecter lors du décès de l’assuré, même si le bénéficiaire est une toute autre personne, en dehors de l’entourage du défunt. Toutefois, généralement, ce sont les descendants directs du défunt qui perçoivent cette somme, si ce n’est son conjoint, mais il se peut que ce soit aussi ses parents. Cependant, il n’est pas rare de voir une personne submerger par son travail, jusqu’à oublier d’avoir une vie en dehors, et qui y consacre sa vie, et qui décide pourtant de souscrire à une assurance décès. Dans ces moments-là, il doit absolument désigner un héritier, et c’est là que ses parents proches ou ses amis de confiance font leur entrée pour s’assurer que ce dernier ait une obsèques digne de son nom. Mais il arrive aussi par moment que l’assuré décide de remettre son capital à des associations caritatives.

Le montant perçu par l’héritier

Comme cité précédemment, chacun a le choix concernant le total du capital souhaité pour son assurance décès, du moment que cette somme dépasse les 10 000 euros. Ce capital est fixé à la signature du contrat, et en fonction de la somme souhaitée, vous pouvez aussi déterminer comment elle sera reversée. Cependant, pour les plus gros montant, généralement, un premier capital de 2 000 à 10 000 euros sera versé directement à l’héritier lors du décès de l’assuré, pour le déroulement de ses obsèques. Et sachant que le montant du capital peut dépasser les 100 000 euros, vous pouvez décider de, soit reverser la totalité à votre héritier à votre décès, soit le reverser en tranche, en guise de mensualité. Et là encore, vous êtes seul a décidé du montant de la mensualité à reversé, et l’assureur se doit de suivre vos indications.

Peu importe le nombre d’héritier que l’assuré décide de figurer dans son contrat, chacun d’eux percevra une part égale de l’héritage. Sauf si l’assuré a déjà tout déterminé dans le contrat.